à survivre, à suivre...
Il n'en avait rien à faire du paraître
Il dansait et chantait dans le métro parisien
Il n'avait plus rien
Il était l'être
Non il n'était pas ivre
Il lui restait la joie de vivre
dont il ne voulait pas se priver
Car personne ne pouvait lui enlever.
Les journées sont longues pour les exclus, trop courtes pour les exploités, il est temps d'agir ! On perd son boulot, puis sa maison ou son appart, sa femme, ses enfants et l'on se retrouve à la rue.
Le président candidat est en fait un roi, le roi des menteurs,
Voir l'article de Libération :
[extrait de l'article]
Nicolas Sarkozy oublie le premier de ses engagements, qui explique pour beaucoup l'amertume des salariés. Si une solution crédible existe pour Gandrange, avait-il déclaré lors d’une visite sur place le 4 février 2008, «l’Etat préfère investir pour moderniser le site plutôt que de payer de l’argent pour accompagner des gens soit en préretraite, soit au chômage». Par ces mots, il avait suscité l’espoir.
Les syndicats se sont ensuite échinés, travaux d’experts à l’appui, à démontrer qu’une relance de l’aciérie et du train à billettes promis à la fermeture était possible. Cela n’a rien donné, car il a fallu se rendre à l’évidence que l’Etat ne pouvait ni s’opposer à la stratégie industrielle d’ArcelorMittal, ni investir à sa place.
Pas d'accord car l'évidence c'est que l'État a les moyens de contraindre : sa majorité à l'assemblée nationale peut voter des lois contraignantes et si elle traîne des pieds il peut gouverner par ordonnance. La réalité c'est qu'il n'a pas voulu s'opposer. Et pourquoi des multinationales qui acceptent des cadeaux fiscaux peuvent-elles refuser d'investir alors même que l'état accorde chaque année 170 milliards d'euros de déductions fiscales aux très grandes entreprises (pas aux PME) ? parce qu'elles savent que le gouvernement soutient les patrons voyous et les grands actionnaires voleurs. Ces cadeaux sont payé par tous les citoyens, les salariés, les chômeurs et même les SDF lorsqu'ils achètent du pain, ils payent la TVA.
un parfait bonimenteur télévisuel
Et je ne donne ici que deux exemples...
Comment peut-on encore croire en ce candidat ?